de la cité des affaires ne restent qu’elles qui ne se voient pas se font discrètes secrètes et au palais les gardes relève qui tarde peinent aujourd’hui dans le regard des visiteurs venus de l’europe entière à rivaliser avec les tours les plus hautes et entre lesquelles ils serpentent bus à deux étages décapsulés comme on n’en voit à paris aussi
la cité la city s’étend quitte son centre s’étale gagnant du terrain sur le logement ou tout ce qui ne fait pas sens à l’échelle de l’urbain signal la cité se répend une tour ici une autre là-bas et celle-là qui sortira bientôt de terre la tête à voir la mer d’ici
il y a au dos de la tate modern une tour de babylone que les architectes suisses auteurs de la première construisent fièrement une tour à la base évasée résille de blocs blancs qui n’est de la première qu’un agrandissement qui en dépassera le corps les choses vont bien ici on prospère on vend
venez consommer guggenheim louvre beaubourg comme des supermarchés qui prolifèrent alors tu refuses d’y entrer évites les musées préfères la ville et les gens ceux qui à cinq heures tôt le matin sortant de la gare de london bridge après avoir traverser la banlieue attendent un bus en direction la cité la city qui ne parlent même pas vraiment la langue d’ici mais qui videront les poubelles dans les bureaux de ceux qui en banlieue sont encore endormis
#PUSH